Le bailleur social obtient l’usufruit en masse. C’est de la location dont il se charge. Il en profitera des loyers pendant plusieurs années qui peuvent aller jusqu’à une vingtaine d’années. À la fin de l’usufruit, le nu-propriétaire reçoit pleinement le droit d’user de sa propriété comme il l’entend soit pour la location, l’habitation ou autre.
Investissement en nue-propriété pour le bailleur social
Le bailleur social prend en totalité la charge de la résidence. L’euodia.fr donne la possibilité au bailleur de faire une affaire qui n’est pas à sa portée pour inaccessibilité au niveau du prix. Il peut également recourir à cette pratique dans le cas de non-disposition de fonds propres. C’est favorable au bailleur qui ne dispose pas de moyens colossaux pour fructifier son investissement. Le bailleur doit entretenir le bien convenablement, il y va de la restauration jusqu’au délai de partage de propriété. Il joue le rôle de prospecteur de locataires et les excédents lui reviennent de plein droit. Il doit tout de même se conformer aux règles du Code civil. Il choisit les locataires qui sont capables d’apporter de meilleurs rendements, résultat d’une bonne prospection.
Le prix d’achat et de la revente
Le prix d’achat est conditionné par le prix sur le marché, il faut se conformer à la transaction tendancielle. Il faut aussi être en accord avec le bailleur social. La valeur de la nue-propriété découle de la totalité des revenus de la location normalement à percevoir le temps du partage de propriété. Il faut attendre l’expiration du délai de l’usufruit pour pouvoir profiter pleinement de la propriété. C’est un gain énorme, une récupération de taille comparée au cout d’investissement réalisé au départ. Il ne faut surtout pas trop se préoccuper du placement qu’au terme de la copropriété. Le marché de liquide offre une issue favorable. Il est fixé en conformité avec la valeur marchande au moment de la distribution entre usufruit et nue-propriété. L’idée d’une revente fait l’objet d’une autre question, en réalité elle n’est pas très fréquente vu la souffrance du marché actuel. Elle est d’une vitesse supérieure, car le démembrement s'effectue à une courte durée. Et l’affaire continue.